Face à la «crise mondiale de l'eau», la gestion intégrée des ressources en eau semble représenter la solution. Toutefois, les auteurs montrent qu'elle a de quoi être critiquée et la mettent à l'épreuve en analysant sa transférabilité à l'Afrique subsaharienne.
En tenant pour acquis les risques de guerres de l'eau jusqu'à la perspective de pénuries, les auteurs s'interrogent sur les conditions d'une mise en commun, à la fois des problèmes de l'eau et des réponses à leur apporter à l'échelle mondiale.